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31 mai 2007

De la compétition 


Les vraies affaires, Technopolitique laisse ça à d'autre. C'est avec plaisir que nous constatons l'arrivée de ce nouvel ovni dans la blogosphère québécoise et retrouvons Gorge Profonde (parmi d'autres) que nous avions découvert lors de la dernière campagne électorale. Déjà près d'une dizaine d'entrées en trois jours. En espérant qu'ils maintiennent le rythme.

Nous nous permettons de reproduire un petit extrait en guise de hors-d'oeuvre:

Le 13 juillet 2004, le CRTC décide de ne pas renouveller la licence de CHOI FM, station de radio qui se spécialise dans l'insulte et le mauvais goût. Les journalistes québécois applaudissent montrant ainsi que liberté de la presse ne rime pas avec l'irresponsabilité. Seule fausse note, Repoerters sans Frontières (RSF) qui hurle à la censure et montre ainsi être plus proche des propriétaires des médias que des journalistes.

Le 28 mai 2007, le gouvernement du Vénézuela décide de ne pas renouveler la licence de RCTV, chaîne de télévision créée il y a 50 ans par le dictateur Marco Perez Jimenez et réputée pour ses nombreuses fraudes fiscales (36 millions $ d'impôts détournés durant les dernières années), sa tendance à montrer en modèle des adolescentes pubères en mini-jupe avec des seins siliconnés, sa participation active à un coup d'état militaire en 2002, son truquage de reportages pour inciter la population à prendre les armes ainsi que son appel récent à assassiner le président démocratiquement élu du pays. RCTV a d'ailleurs été régulièrement suspendue durant toute son existence pour violation des conditions de sa licence.

Mais là les médias québécois s'insurgent. "La dernière chaîne télé d'opposition forcée au silence" titre La Presse, «S.O.S. liberté d'expression» clame Le Devoir en Une. J'imagine La Presse défendre une télé qui appelerait à assassiner Bush ou Harper !

La suite ici.

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Crise financière à l'UdeM 


«On peut peut-être utiliser des moyens informatiques pour faire de l’enseignement ou utiliser des logiciels pour faire des tâches administratives»

Guy Breton, vice-recteur exécutif de l’Université de Montréal.
Visionnaire. Une université qui marche toute seule. Sans prof. Un vrai brain ce Guy Breton.


24 mai 2007

Budget Québec 


"À votre avis le budget d'un gouvernement minoritaire ça devrait être fait à deux ou à trois. C'est ça ? Dans un espèce de petit hotroom en quelque part et pis on fait ça à trois".

Bernard Derome, s'adressant à Francois Legault lors du Téléjournal.

Lâche pas Bernie, on t'aime.


Avoir le courage de ses convictions 


Oups.


22 mai 2007

Prise d'Otage 




Grève du Syndicat de la STM: une simple question 



J'admets que je ne suis pas particulièrement ferré en questions syndicales. C'est donc le gros bon sens qui me dicte cette réflexion à propos de la grève qu'a déclenché hier le Syndicat du transport de Montréal - Employé(es) des services d'entretien, affilié à la CSN.

Premier constat, réalisé avec mon regard d'usager du métro: 'font chier.

Cela étant dit, je précise que je suis d'ordinaire favorable aux syndicats, eux qui auraient de moins en moins la cote auprès de la population - les 2/3 d'entre nous, si on se fie grossièrement aux résultats des dernières élections provinciales... Peser le pour et le contre dans ce conflit est néanmoins assez simple, si on regarde les chiffres objectivement. Et surtout, si on cherche à voir un peu plus loin que ce que disent ces chiffres.

Ainsi, je suis plutôt d'accord avec la réflexion de Jean-Robert Sansfaçon, éditorialiste au Devoir (un quotidien qu'on peut difficilement taxer d'anti-syndicalisme) lorsqu'il avance que sur "le fond des choses, la Ville ne doit pas céder devant cette offensive syndicale aussi prématurée qu'injustifiée". Extrait de l'éditorial L'Impossible Négociation (Le Devoir, samedi 19 et dimanche 20 mai 2007):
Depuis des années, les employés des grandes villes du Québec profitent du monopole syndical dans la livraison de services essentiels comme le transport collectif ou l'enlèvement des ordures ménagères ou de la neige en hiver. Ce monopole leur a permis d'exercer un rapport de force tout à fait disproportionné et d'arracher des conditions de travail inéquitables lorsqu'on les compare à celles de leurs homologues de la fonction publique du Québec.


Bien sûr, à la comparaison des conditions salariales de leurs homologues de la fonction publique du Québec, les partisans du Syndicat du transport de Montréal opposeront d'autres chiffres - et ainsi va la bataille. En voici, tirés du blogue Sur les lignes - une chronique syndicale, entrée du samedi 19 mai dernier (l'extrait n'est pas intégral, il était nécessaire de corriger les fautes d'orthographe...):
Trop payés?

Les gens, en tout cas beaucoup de ceux qui s'ouvrent la trappe sur les forums, sont scandalisés d'apprendre que les ouvriers et les employé-es d'entretien de la STM sont bien payés. Certains pensent même que la STM pourrait baisser le salaire des mécaniciens à 20$ de l'heure et que ce serait quand même facile de trouver des gens heureux d'occuper des emplois à d'aussi bonnes conditions. La vérité, pourtant, c'est que la STM [est] limite compétitive [avec] les conditions qu'elle offre.



"Limite compétitive" avec le privé? Peut-être. Avec les ST des autres grandes municipalités du Québec? Voilà tout le problème que soulève Sansfaçon. Certes, le problème salarial fonction publique/privé n'est pas l'apanage de la STM (demandez aux médecins québécois émigrés aux États-Unis), or nous n'entrerons pas dans ce piège. Cependant, j'aimerais bien que le syndicat (ou les auteurs du blogue Sur les lignes, tiens) répondent à cette affirmation de l'éditorialiste du Devoir:
Malgré ces deux interventions [de Québec en faveur des villes lors de conflits], les employés de Montréal ont maintenu et même accru l'écart salarial qui les séparait des fonctionnaires provinciaux, notamment au chapitre du régime de retraite alors qu'un salarié de la STM a droit, après seulement 30 ans de service, à une rente après impôts supérieure à son revenu net de fin de carrière, et ce, même avant l'âge de 50 ans! [...]
Ironie de l'histoire, c'est la bonification de ce même régime de retraite qui est au coeur des revendications, tout juste à côté des 60 millions de nouvelles demandes salariales. Rien de trop beau pour les employés de nos monopoles publics!


Bref, tout ça pour dire que sur le front de l'opinion publique, pas certain que le syndicat ait gagné la bataille, même auprès de gens comme moi qui sont généralement pro-syndicats. Et pour tout dire, ce n'est pas en faisant chier le citoyen usager des transports en commun qu'on gagne des appuis. Cette grève tombe d'autant plus mal que la question de la protection de l'environnement, intimement liée à l'utilisation de l'automobile vs le transport en commun, est un sujet extrêmement chaud (s'cusez le jeu de mots) qui touche la population, laquelle a très bien accueilli le programme dévoilé par la ville la semaine dernière où on faisait mirroiter voies piétonnes, pistes cyclables et tramway.

Finalement, ma question est celle-ci: messieurs les syndiqués, au lieu de nous faire chier en nous privant de transport en commun et en forçant les travailleurs de la région montréalaise à reprendre l'habitude de voyager en voiture (à 1,20$ le litre d'essence...), n'eut-il pas été plus efficace d'ouvrir les guichets du métro et de faire monter les usagers gratis dans l'autobus? La pression aurait été toute aussi grande sur le patronat, et vous auriez gagné l'appui de la population, non?

Bravo, les gars. Braaaa-vo.

//UPDATE//

Dans les commentaires, le blogueur Tetoine y va d'une observation qui m'avait échappé en écrivant ma conclusion. La voici:
Votre dernière suggestion a été appliquée dans un récent conflit aux pays bas si je ne m'abuse... et elle avait très bien fonctionnée. Par contre, il s'agissait d'une grève de chauffeurs.

Les employés d'entretien n'ont pas ce pouvoir. Et si les guichetiers ouvrent les tourniquets, ils se retrouvent en situation d'insubordination et ou peut-être même de grève illégale...


Ç'a ben du bon sens, comme dirait l'autre. Alors, s'il n'y a pas vraiment moyen de faire passer gratis les usagers de la STM, y aurait-il un autre moyen de pression qui saurait remporter la faveur du public au lieu de paralyser les transports en commun? Quelqu'un a une suggestion?


16 mai 2007

Rigueur et transparence : Jérome-Forget doit démissionner 


Pas plus tard que la semaine passée, Monique Jérome-Forget faisait la leçon à l'ex-recteur de l'UQAM en rappelant qu'on ne pouvait qualifier de "PPP" le projet de l'Ilot Voyageur. Usant de son flegme habituel et du haut de sa légendaire condescendance, voici ce qu'elle déclarait alors.
"Pauvre monsieur, êtes-vous allé en appel d'offres, en appel de qualification? Quel est le partage de risques?" Il n'était pas capable de répondre. Eh bien, je lui ai dit: "Ne parlez jamais d'un PPP" (Le Devoir, 10 mai).
Pour ceux que ça intéresse, on apprendra plus tard que le Conseil du Trésor était beaucoup plus impliqué qu'il ne le laissait croire, engageant lui-même des centaines de millions dans l'opération. Mais là n'est pas tellement la question.

Ce qui nous intéresse ici, ce sont les éléments mis en lumière par Antoire Robitaille dans un article paru dans Le Devoir de ce matin (on l'aime de plus en plus celui-là) qui nous apprenait que l’Agence des PPP a accordé à la firme Price Waterhouse Coopers "des contrats sans appel d’offres public pour des sommes totalisant quelque 430 000$ à l’automne 2006, dans le cadre du projet de la salle de l’orchestre symphonique, un PPP actuellement en préparation".

Il y a là toute une panoplie de trucs qui tendent à confirmer ce que nous affirmions il y a plus d'un an, alors que le débat sur la création de l'Agence des PPP faisait rage :
Il y a évidemment plusieurs bonnes raisons de s’opposer à cette nouvelle mouture des PPP, : le manque de transparence ; les risques élevés de conflits d’intérêts et de relations incestueuses entre les dirigeants publics et ceux de l’entreprise privée ; la gestion « managériale » de la chose publique où les « indicateurs de qualité » inspirés de la « nouvelle gestion publique », née dans les business schools anglo-saxonnes, sont sensés protéger l’intégrité des services offerts aux citoyens ; la centralisation des décisions vers le Conseil du trésor et l’exécutif du gouvernement, la chimère du partage du risque, le fait que la comptabilité privée ne peut pas être inspectée comme c'est le cas des finances publiques, etc.
Reprenons quelques points à la lueur des informations révélées depuis deux semaines.

D'abord, le contrat de consultation a été attribué sans appel d'offre alors que le règlement est pourtant clair : "
Un contrat ne peut être conclu que s’il a été précédé d’un appel d’offres, sauf lorsque le montant du contrat est inférieur à: 1) 5000 $ pour un contrat d'approvisionnement; 2) 10 000 $ pour un contrat de services auxiliaires; 3) 25 000 $ pour un contrat de construction ou de services professionnels". Et pour un contrat d'un demi-million, et bien, dans ce cas, il semble qu'il ne faut pas s'enfarger dans les fleurs du tapis...

Sur le risque élévé de conflits d'intérets et de relations incestueses entre le public et le privé :
Le président de l’Agence des PPP, Pierre Lefebvre est lui-même un ancien de Price Waterhouse Coopers (PWC), la firme qui a eu le contrat de consultations sans appel d'offre... Par ailleurs, comme le souligne un lecteur du Devoir: " Comment peut-on s'attendre à un rapport objectif sur l'efficacité des PPP quand c'est un client potentiel (ou actuel dans ce cas-ci) qui analyse la situation? Et comment peut-on croire à l'intégrité du président de l'Agence quand celui-ci 1) fait appel dès que possible à son ancien employeur; 2) facilite dès que possible la dérgogation en faveur du même employeur sous des prétextes plus que douteux?

Sur la centralisation des décisions vers le Conseil du Trésor et l'exécutif: Le président de l’Agence des PPP, M. Lefebvre, a demandé — et obtenu — une dérogation au Conseil du trésor pour PWC, et ce, sans que les parlementaires [ni la population] soient informés.

Sur les soi-disant économies : "
Selon les documents obtenus par Le Devoir, l’Agence des PPP a dépensé plus que prévu en 2006-07 pour ce qui est des contrats avec les consultants externes qu’elle a embauchés dans les PPP qu’elle est en train de préparer. (...) "Pour le mois de novembre seulement, un «chargé de projet/professionnel sénior» a facturé 234,5 heures [NDLR : 60 heures/semaine] à l’agence au taux horaire de 325 $, pour la rondelette somme de 76 212,50 $...

Sur la "transparence si chère à Jérome-Forget: "
Plusieurs factures des premiers mois de l’année 2007 n’étaient pas disponibles". Et ben.

Sur la "chimère du partage du risque" : Busac et PWC "are laughing all the way to the bank" comme disent les anglos.... et dire que c'est Lucide Bouchard qui "négocie" le sauvetage des meubles. Quel gâchis!

***
N'y allons pas de main-morte. Soyons rigoureux, soyons transparent. Exigeons la démission de Monique Jérôme-Forget.

[écoutez aussi l'entrevue de Christian Rouillard à Désaultels, quatrième avant-dernier lien]

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15 mai 2007

Montée de lait d'un lecteur 


Simon, l'un de nos valeureux lecteurs, nous écrit:

***

Salut Pointu,

Je sais pas si tu te cherches du matériel à pétage de coche pour Le Périscope, mais dans la catégorie drôle-pathétique-je-vais-finir-par-varloper-un-journaliste-de-Québécor-ou-idealement-RichardMartineau, jette un coup d'oeil sur ce topo de JE.

On y apprend que (lire ce qui suit en hurlant à haute voix telle un Jean-Luc Mongrain) : SCANDAAAAAAAAAALE!!! Ton kraftdiner est kasher! Ce sont les Juifs qui nous imposent ça via un autre accommodement raisonnable!! Facque ton diner de mangé jaune crémeux kraft, il coûte environ 0,001 $ de plus!!! Et pis qui c'est qui paye pour ça!?!?!?! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!! Toéééééééé!!!! Pis en plusse, les arabes vont s'y mettre ITOUT!!!

J'en fini plus de m'arracher le poil du chest tellement je suis scandalisé... Moi je dis que Quebecor va bientôt créer une division Accommodement raisonnable qui sera au dessus des salles de nouvelles(sic) de TVA et le Journal de Mourrial.

Bon... ça me soulage un peu.

***

Voilà. Ça nous fait plaisir de servir de chambre de décompression.


R.I.P. Brûle, Jerry Falwell 



Jerry Falwell, télé-évangéliste, pilier de la droite religieuse américaine, gérant de la "megachurch" Thomas Road Baptist (qu'il a fondée en 1956) et malade mental, est finalement mort, ainsi que l'a annoncé CNN il y a quelques minutes. Le best of s'impose:

- À propos de 9/11, sur la chaîne câblée Christian Broadcasting Network:
I really believe that the pagans, and the abortionists, and the feminists, and the gays and the lesbians who are actively trying to make that an alternative lifestyle, the ACLU, People For the American Way, all of them who have tried to secularize America. I point the finger in their face and say 'you helped this happen.


- Ségrégationniste avoué, Falwell est allé jusqu'à remettre en cause la sincérité de Martin Luther King en qualifiant son mouvement de "Civil Wrongs Movement". Sur le front racial, ajoutons que le Révérend était en faveur de l'Apartheid, et qu'il a ridiculisé Desmond Tutu (pour ensuite affirmer qu'il avait été "mal cité"...)

- Selon lui, l'Antéchrist serait "of necessity, a Jewish male".

- On s'en doute, le vieux est pro-Républicain et un fervent supporter de W.Bush. Cependant, la férocité de ses attaques à l'endroit de l'ex-président Bill Clinton relevaient du fanatisme. En 1994, Falwell distribue son "documentaire" intitulé he Clinton Chronicles: An Investigation into the Alleged Criminal Activities of Bill Clinton, dans lequel Clinton est associé à des affaires de traffic de cocaïne et une histoire de conspiration à propos de laquelle l'ex-président serait en train de fomenter l'assassinat de journalistes américains. Il a été prouvé que plusieurs "témoins" apparaissant dans le documentaire ont été payés pour raconter des mensonges. Le film s'est néanmoins écoulé à 150 000 exemplaires.

- Homophobe notoire, Falwell est allé jusqu'à sortir Tinky Winky, le Teletubbies "gay", du proverbial garde-robe et dénoncer les producteurs de la fameuse émission pour enfants.

Par ici pour d'autres citations effrayantes. Salut, vieux criss.


13 mai 2007

Journalisme citoyen 


Premier gros scoop pour Rue 89 : Cecilia Sarkozy, la femme du nabot, n'aurait pas été voter....et le Journal du Dimanche n'a pas voulu le révéler.

Quelqu'un sait si Michou s'est déplacée lors de la dernière élection ?

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12 mai 2007

Luc Harvey, représentant du peuple 


"Le groupe dont je vais parler, leur âge moyen est 45 ans. Ils sont pour la plupart des "importés", des personnes immigrantes qui nous ont fait apprécier et connaitre le soccer"

- Luc " la main sur le coeur" Harvey, député conservateur de Louis Hébert s'exprimant à la Chambre des Communes et, accessoirement, ex-wannabe négocieux de diamants en Afrique...
Coudonc Luc, es-tu en train de ramollir, fallait leur dire de faire comme tout le monde pis de jouer au hockey. Franchement.

Voilà, c'était simplement pour alimenter un peu ce blog en attendant que mon collègue Postkrock émerge de son coma post-électoral et commente la course à la chefferie...

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6 mai 2007

Présidentielle française 


La racaille élue. Ça brûle déjà. Triste jour.


4 mai 2007

ISO 14001 


Patrick Lagacé nous renvoie aujourd'hu à ce vidéo du Pakistan Ordnance Factory. Bon, c'est pas la première fois que des videos "corporatif" de vendeux d'armes se retrouvent sur You Tube. Mais bon, j'imagine que y'a pas à s'en faire puisque les produits vendus sont certifiés ISO 14001...

La norme ISO 14001 est la plus utilisée des normes de la série des normes ISO 14000 qui concernent le management environnemental.Elle constitue le référentiel de base pour la certification. Il représente 18 exigences réparties en 6 chapitres :
  1. Les exigences générales (intentions de l’établissement en terme d’environnement).
  2. La politique environnementale (objectifs de l’entreprise).
  3. La planification (Réalisation des actions planifiées pour satisfaire la politique environnementale).
  4. La mise en œuvre (surveillance de la fonctionnalité du Système de Management Environnementale).
  5. Les contrôles et les actions correctives* (interprétation des résultats issus entre autres du mesurage).
  6. La revue de direction.
Humm. Ah, la responsabilité sociale des entreprises. Que c'est jolie. J'imagine que y'a pas de petits progrès.

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"L'Affaire" Doan 


Voir la désopilante contre-pétition du Sportnographe.


2 mai 2007

Live from France 


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