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29 septembre 2007

Guerre des blogs : suite et fin (de la tranny) 


On a gagné! On a gagné! On a gagné!
Suite notamment dans le Devoir. Je suis très curieux de voir si on (et particulièrement ceux qui ont pourtant l'habitude de suivre ce qui se passe dans la blogosphère) en parlera dans la Presse ou dans les différents avatars de l'Empire.


28 septembre 2007

Élodie Gagnon-Martin est une tranny 


Ainsi réponds-je à l'énigme posée par l'article de ce matin d'Antoine Robitaille à propos de ce blog (lequel blog est parmi les plus minables qui soient, un exemple pathétique de la façon dont la partisannerie peut ronger les cellules d'un cerveau...). En gros, l'article relève une série d'évidences à propos du fait que ce blog, officiellement tenu par une dénommée Élodie Gagnon-Martin, serait en réalité le fait de Pierre Morin, un employé de l'ADQ qui a sévi comme blogueur durant la dernière campagne électorale sous le nom de MisterP.
En passant, je suis tout à fait d'accord avec ce que dit Pierre Morin dans l'article à l'effet que "la guerre des blogs"(si une telle chose a effectivement eut lieu) de la dernière campagne électorale a effectivement été gagnée par le clan adéquiste qui avait une présence massive et qui réagissait comme un seul homme devant les évènements. Politiquement, et du point de vue de la blogosphère, c'était imposant et convaincant.
Sauf que l'action blogo-politique de MisterP (et de son potentiel alter ego EGM), c'est de l'action politique efficace à la Karl Rove, c'est-à-dire drôlement efficace dans le sens qu'elle atteint ses buts mais entièrement dépourvue de toute noblesse et de retenu eu égard à n'importe quel critère éthique. On fait ainsi abondamment usage de salissage de personnalité, d'enflure verbale, de rumeurs et de mauvaise foi radicale.
Pour ce qui est du mensonge, il n'y a peut-être pas encore eu de cas avéré du côté de Misterp/EGM, mais : 1) c'est la suite logique de ce genre de façon de faire de la politique, comme en témoigne tout l'oeuvre de Karl Rove, et 2) on en a peut-être un très beau cas avec cette histoire de personnalité fictive visant à camoufler le fait de faire du travail de salissage politique rémunéré... Il n'y a peut-être pas encore de preuve hors de tout doute pour le moment, mais ça fait drôlement du sens cette histoire là. Le post fait par EGM en réponse à l'article ne fait rien pour clarifier les choses. Et vous remarquerez, comme le souligne l'article de Robitaille, que les phrases écrites à la première personne ne sont effectivement jamais accordé au féminin...
Alors, tout ça, combiné au travail de mes redoutables informateurs qui m'ont apporté des preuves irréfutables que je ne puis malheureusement diffuser sous peine de compromettre leur sécurité (disons seulement qu'après avoir eu de grosses attentes durant toute une soirée, ils ont été très, très, très déçus...), m'amène donc à la conclusion qu'Élodie Gagnon-Martin est en réalité une tranny. Case closed.

[EDIT: Mmmhh... je viens de réaliser que le titre de mon post ne risque pas d'améliorer ce à quoi mon collègue Pointu faisait référence dans le post précédent...]

[RE-EDIT: V, qui est aussi mentionné dans le dit article, fait un post intéressant sur la question et émet l'hypothèse que c'est la même personne qui est derrière d'autres blogs orduriers tels que Anti-souverainiste et http://www.cheznouscestpaspauline.com/ .]
[Re-Edit(bis)vendredi soir, http://elodiegmartin.wordpress.com/ ne répond plus... Et manifestement, cette histoire-là intéresse pas mal de monde]
À suivre...

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Circulez, ceci n'est pas un site de cul 


Désolé pour tout ceux qui aboutissent sur le Périscope après avoir taper les expressions suivantes dans google:
  • Comment agrandir et aipessir son sex
  • nettoyer+son+gros+colon
  • tentation du plaisir gay
  • douteuses de clitoris
Par ailleurs, à "algérienne voudrais me lancer projet foie gras que faire pour commencer", Le Périscope suggère de déménager à Hérouxville.

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27 septembre 2007

Si j'étais journaliste 


Il semble que Pauline ait finalement décidé de répondre aux allégations parues il y a une semaine dans The Gazette.

Disons qu'on accepte, tel que l'affirme Mme Marois, que l'affidavit ayant servi à convaincre la Commission de protection du territoire agricole (CPTAQ) de "dézoner" le terrain au tournant des années 1990 ait été en règle, c'est à dire que M. Turcotte, habitait bel et bien une journée sur deux dans le désormais fameux shack même si, selon ce qu'affirme le journaliste de la Gazette, il ne payait plus de loyer, qu'il n'était pas propriétaire du terrain et, plus encore, même s'il possédait, depuis 1975, une maison avec chauffage et électricité à deux minutes de marche dudit shack. Disons que l'on accepte aussi que le couple n'a pas payé M. Turcotte pour l'affidavit.

Je répète, disons que l'on accepte l'entièreté des explications de celle qui veut devenir Première ministre du Québec. Et bien, la question que je poserais à Madame Marois est la suivante:

Coudonc, comment se fait-il que votre chum Walsh (qui agissait comme intermédiaire pour le couple Blanchet/Marois selon les dires de Pauline) ait pu faire l'acquisition d'un gigantesque terrain (41.3 acres) - à l'ïle Bizard, sur le bord de l'eau, sur lequel il était clair que l'on pouvait construire - pour aussi peu que 65,823.38 $, c'est-à-dire pour moins de 0.04 $ (!!!) du pied carré [65823.38 $/1799028 pieds carrés] ?

***

Et pis tiens, parce que cette histoire me rappelle de vieux souvenirs, quelqu'un peut-il me dire ce qu'il est advenu de la mise en demeure reçue il y a deux ans par Le Québécois concernant certaines allégations autour des propriétés d'un autre ténor (pfft!) de la politique provinciale ?


24 septembre 2007

Nuit Talibane 


L'original et le remake. [Via Patrick Lagacé]

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20 septembre 2007

Correction : The Land of Free Speech* 


Trop marrant, parce que c'est exactement ce qui s'est passé! Personne ne réagit sur place (sauf pour applaudir quand le type se fait embarquer) mais l'affaire éclate sur youtube...

*"Free speech, yeah, but don't piss us off..."


Land of free speech 


Ayoye.

[m-a-j] voir Tétoine pour la mise en contexte. Il s'est donné la peine lui.


19 septembre 2007

La guerre privatisée 


Ce ne sera pas un véritable compte-rendu comme promis - le temps me manque -, mais la sortie du documentaire - lumineux parait-il - No end in sight de Charles Ferguson me permet de revenir brièvement sur The Shock Doctrine de Naomi Klein.

Selon ce qu'en rapporte Jooneed Khan, la dynamique des témoignages rassemblés dans No End in sight converge sur trois «erreurs capitales» de Paul Bremer : il s'est opposé à la formation rapide d'une gouvernement irakien, a décrété la débaassification et il a ordonné la dissolution de l'armée. Bref, "Bremer improvisait, sans proposer de plan cohérent d'occupation". Madame Klein propose une autre lecture :
By his own admission, Bremer knew little of Iraq, (...) [but] if there was one thing Bremer knew a great deal about, it was the central mision in Iraq, disaster capitalism. (...) His mission was to get the country ready for the launch of Iraq inc. Seen in this light, his early, much maligned decision [ autant la "débaassifiction" que la destruction des sociétés d'états irakiennes et la dissolution de l'armée] have a unmistakable logical coherence.

(..) Iraq under Bremer was the logical conclusion of Chicago Scholl theory: a public sector reduced to a minimal number of employers, mostly contract workers, living in a Halliburton city-state, tasked with signing corporate friendly-laws drafted by KPMG and handing out duffle bags of cash to Western contractors protected by mercenary soldiers, themself shielded by full legal immunity.
Ce qui m'amène au plus récent des "scandales" autour de la guerre en Irak (qui ne nous surprennent plus tant ils sont récurrents), l'Affaire Blackwater mettant en scène des mercenaires tirant à qui mieux mieux sur des civils irakiens. Le porte-parole du département d'État invoque la complexité des lois gouvernant les activités des sociétés de sécurité en Irak.
Ce n'est qu'après que les faits auront été établis qu'une décision pourrait être prise quant aux textes dont relèverait Blackwater, a-t-il dit. Il s'agirait alors de savoir si l'entreprise bénéficie d'une immunité en vertu d'un ordre datant d'une époque où il n'y avait pas à proprement parler de gouvernement irakien après la guerre; ou si elle tombe sous le coup de la loi irakienne, voire américaine.
Tiens, tiens, j'ai comme l'impression que Madame Klein nous donne encore une fois la réponse. Relatant les tribulations juridiques entourant une poursuite judiciaire contre un sous-contractant (Custer Battles) ayant fraudé la gouvernement américain dans le cadre de l'exécution d'un contrat à l'aéroport international de Bagdad, l'auteure note ceci:
In March 2006, a federal jury in Virginia ruled against the company, finding it guilty of fraud, and forced it to pay 10 millions USD in damages. The company then asked the judge to overturn the verdict, with a revealing defense. It claimed that the Coalition Provisional Authority (CPA) was not part of the U.S. Government, and therefore not subject to its law. The implications of this defense were enormous: the Bush administration had indemnified U.S corporations working in Iraq from any liability under Iraqi laws ; if the CPA wasn't subject to U.S law either, it meant that the contractors weren't subject to any law at all- U.S or Iraqi. The judge ruled in the company's favor.
Reste à voir si les choses ont changé. Ce dont je doute.

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18 septembre 2007

Parlons science ! 




Si vous croyez que la discussion est mal partie, allez voir à la quatrième minute...
[via Richard Hétu]

Extra ! Extra ! Pour ceux qui l'aurait manqué,
le chef du Parti conservateur de l'Ontario, John Tory, ne voit pas d'inconvénients à ce que le créationnisme soit enseigné dans des écoles financées par son éventuel gouvernement...


14 septembre 2007

En vrac cette semaine 


La rentrée scolaire nous occupant pas mal par les temps qui courrent, je me rabattrai donc, en attendant le retour de Postkrock sur ce blogue après sa traditionnelle hibernation estivale (?), sur le concept du "en vrac cette semaine" inauguré par Simon le Champion.

***

D'abord en guise d'hors-d'oeuvre, vous constaterez (voir la "plogue de la semaine") que, comme Tétoine, Le Periscope, appuie la croisade de MédiaMatinQuébec contre l'Empire.

***

Le morceau de robot du Périscopeva cette semaine à Marc Cassivi, qui, dans la cacophonie de tout ce qui a été écrit depuis le début de "La Commission" n'hésite pas à dire les "vraies affaires":
Depuis quand ouvre-t-on les ondes (qui sont publiques) à la propagande haineuse? Depuis quand laisse-t-on à chacun le loisir de déverser son fiel à la radio? Pourquoi faudrait-il que les ignorants, les racistes et autres xénophobes aient une tribune de choix pour débiter leurs inepties, sous prétexte que chacun a droit à son opinion?

En accordant du temps d'antenne à des racistes, on banalise le racisme. Les médias sont responsables de cette dérive. Ils ne filtrent plus le discours des abrutis, de peur de passer pour bien-pensants. Quand cessera-t-on de dire, par opportunisme, par populisme ou par paternalisme, que le fameux «code de vie» des habitants de Hérouxville était la manifestation maladroite d'une insécurité identitaire? On ne peut plus appeler une abrutissante connerie par son nom?

Le Québécois n'est pas plus raciste que son prochain. Mais il ne l'est pas moins non plus. Ce n'est pas parce que l'on ne sait plus le reconnaître que le racisme n'existe pas. Et ce n'est pas parce qu'il existe qu'il faut lui offrir une vitrine médiatique
Cela fait malheureusement écho à ce que je constatais en janvier, lors de la parution du fameux sondage sur le racisme :

Qu’ai-je donc à dire ? Par-delà les histoires de chiffres, les choix de réponses discutables, les interprétations ridicules avancées par le sondeur, les catégorisations bizarroïdes confondant nationalités, religions et « ethnies », etc. etc., qu’est-ce que nous disait le sondage du JdeM ? Qu’il y a du racisme au Québec. Combien? Plus ou moins qu’ailleurs ? Je ne sais pas. Mesurer le racisme est en soi un exercice très périlleux, voire futile. Plus encore, de constater qu’il y a du racisme au Québec, ce n’est certes pas banal, mais ça devrait être une banalité puisque le racisme existe partout. (...) Mais revenons au sondage. Qu’est-ce qu’il nous dit encore ? Que les gens n’hésitent pas à dire qu’ils sont racistes. Pourquoi les gens n’hésitent-ils plus à se dire racistes? Pourquoi est-ce soudainement devenu socialement acceptable de se dire « un peu raciste » ? Il me semble que cela a largement à voir avec le débat très mal engagé sur les accommodements raisonnables, et ce, bien avant le fameux sondage. Et à ce niveau, il me semble que c’est l’ensemble de la classe médiatique qui devrait s’interroger. Est-ce qu’en relatant jour après jour, avec bien peu de mise en perspective, des exemples ponctuels d’accommodements « dé/raisonnables » qui ont mal tourné, on stimule le racisme ? Me semble qu’il y a là matière à réflexion.
J'ajouterai donc aujourd'hui, comme le fait M. Cassivi, la question suivante : Est-ce la job des médias de servir de courroie de transmission aux xénophobes de bon aloi qui profitent de leur deux minutes de gloire devant la Commission sur les accommodements raisonnables ?

***
Autres provinces, mêmes combats. On n'en a pas beaucoup parlé ici, mais voila qu'on apprend cette semaine que le Energy Board de l'Alberta n'hésite pas à utiliser des espions et des agents provocateurs afin de lutter contre ces méchants groupes de citoyens osant protester contre des projets de développement de lignes électriques. À quand la "Police Vibram" infiltrée parmi les opposants aux projets Rabaska et Grand-Cacouna ? Des escadrons sont-ils présents lors des réunions du conseil municipal de Notre-Dame-de-Stanbrige - Salutations aux familles Brais et Falcon - où des gens osent remettre en question le type de développement éolien qu'on leur propose ?

D'autre part, sur un thème similaire, mais comment plus tragique, le procès d'Alain Olivier s'est ouvert cette semaine. La Presse suit le procès avec assiduité (1,2,3,4). Bravo.

On serait peut-être dû pour une commission d'enquête. C'est du moins ce que propose M. Popovic dans ces deux articles de fond parus sur La tribu du Verbe. À lire (surtout le premier).

***

Levons notre chapeau à TQS qui nous offre 15 minutes de plus de 110 %. Comme le dit le vieux sage, c'est donc encore plus bon parce que c'est encore plus longtemps mauvais. Avez-vous entendu Jean Pagé discourir en début de semaine sur les "quatre sortes de Juifs". Jouissif. Mais parlant de MAUVAIS, me demande si Foglia écoute l'émission de celui-ci. Ç'est aussi à 23h et, ça, c'est vraiment le summum.

***
Sur une note plus sérieuse, Le Periscope devrait être en mesure de vous livrer un compte-rendu du brillant nouvel ouvrage de Naomi Klein, The Shock Doctrine. Mais nous, on attendra de l'avoir lu (il me reste une cinquantaine de pages à lire). En attendant, rassasiez-vous en regardant ce court métrage sur le bouquin réalisé par Alfonso Cuaron. (voir aussi les extraits d'une conférence de Madame Klein).



10 septembre 2007

Paranoia 


«Devons-nous penser que c'est peut-être un signal ?»

- Le sénateur républicain Norm Coleman s'adressant au directeur du renseignement américain au sujet du changement de couleur de barbe de Ben Laden.

[Pis, tiens, pour les intéressés, la vidéo intégrale]


8 septembre 2007

En vrac cette semaine 


Ça doit être l'air du temps, mais je me sens un peu affecté du "syndrome de Mr Burns" ou le "three stooges syndrome": je vois tellement de conneries dans les médias que je ne sais plus sur quoi réagir... Le summum reste le délire orchestrée par les clowns de l'Empire contre Gérard Bouchard et Charles Taylor, mais je n'embarquerai pas là-dedans, j'ai des choses à faire cette semaine et mon médecin m'a recommander d'éviter de m'énerver pour rien. Je m'en tiendrai donc à quelques babiolles en vrac.

Le morceau robot du Périscope™: un autre à Patrick Lagacé sur qui je me suis bien amusé à taper depuis mon arrivée dans les luxueux sous-sols du Périscope-World-Headquarter-Center. Pour être resté bien calme et avoir mis en lumière une connerie fort substantielle autour du la participation du "Vrai négociateur" dans "l'affaire Cédrika Provencher". Et quand il écrit:
[Claude Poirier] est giga-populaire, giga-influent. Est-ce grâce à ses scoops ? Non, grâce à sa popularité et à son influence. Vous me suivez ? Poirier est connu parce qu’il est connu, dans une dynamique de notoriété qui rappelle le proverbial chien qui court après sa proverbiale queue. À la Paris Hilton, quoi.

Je me dis: Tiens tiens... ça me rappelle quelque chose (voir la conclusion de ça)...

À surveiller : Antoine Robitaille, certainement l'un des plus intéressants et - oserais-je une épithète aussi maudite et conspuée de nos jours? J'ose! - cultivés journalistes québécois, vient de démarrer un blog. Reste à voir si ce n'est qu'une maigre plateforme ouaibe pour donner de la visibilité à son bouquin qui sortira en octobre. C'est le genre de personne qui pourrait produire un blog vachement intéressant s'il s'y mettait...
Une question lancée comme ça: Robitaille serait-il le seul journaliste québécois qui pourrait être qualifié d'intellectuel?
Et un commentaire gratuit de plus : je trouve triste que nos journalistes ne soient plus, en gros, que des - soyons polémique - plombiers des communications... En gros, jadis, les gens qui devenaient des journalistes avaient étudié divers trucs (souvent sciences po) ou avaient un certain vécu qui leur permettait d'avoir un ensemble de références à partir desquelles ils pouvaient exercer leur jugement sur les nouvelles qu'ils rapportaient, et dans la façon de les rapporter. Aujourd'hui, la plupart des journalistes proviennent de programmes où on leur apprend à faire et lire des communiqués de presse...

Deux choses en terminant.
- Au sommet de l'APEC en Australie, des manifestants ont trouvé l'un des moyens de manifester et d'attirer l'attention les plus amusants que j'ai vu depuis longtemps: un moon collectif!
- Si les citoyens de la ville de Québec devait élire André Arthur comme maire, je ne m'opposerais plus formellement à l'idée de partition du territoire québécois.


5 septembre 2007

Les bas prix de Wal-Mart 


"80 to 85 % of the items Wal-Mart sells are more expensive than at other retailers"

Pourquoi je vous parle de cela ? Le Periscope se serait-il transformé en une vulgaire firme d'analyse marketing ? Tout simplement parce que bien souvent, les détracteurs de cette infâme entreprise, dont nous sommes, jouent le jeu du "price spin" de Wal-Marde en prenant pour acquis que les "prix les plus bas y font la loi".

Ce qui, comme le démontre l'enquête de Zenith Management Consulting citée ci-haut, n'est même pas vrai.... [Via Reddit.com]


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