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28 avril 2008

Roulement de tambours... 


Denis Lévesque, meilleur animateur d'affaires publiques au Québec. Faut croire qu'on a ce qu'on mérite !

Pour les "incultes", un extrait de la ''bête" de l'info en action...


Antisyndicalisme à McGill 


Tiens, ya pas juste à l'UQAM où l'administration entrave le droit à la représentation collective. Extrait d'un courriel reçu récemment:
Comme vous le savez peut-être déjà, les auxiliaires d'enseignement (Teaching Assistants) de l'Université McGill sont en grève.

Certains membres de ce syndicat ont également des contrats de chargés de cours ou d'auxiliaires de recherche qui ne sont pas couverts par l'accréditation de leur syndicat, et pour lesquels ils ne sont donc ni syndiqués, ni en grève. Dans les derniers jours, la direction de McGill a annoncé que ces derniers contrats allaient être annulés! En d'autres termes, McGill renvoie des employés non-syndiqués (comme chargés de cours ou auxiliaires de recherche) pour pratique syndicale légale (comme auxiliaires d'enseignement)!

À ma connaissance, aucune direction de département ne s'est pour l'instant opposée à cette consigne, qui en plus d'être probablement illégale pénalise considérablement certains de leurs propres étudiants aux cycles supérieurs. Le session d'été, pour laquelle plusieurs de ces contrats avaient été signés, commence dans deux semaines.

Cette situation est absolument scandaleuse et illustre le peu de respect de McGill pour ses employés qui sont aussi, dans ce cas-ci, ses étudiants! Le syndicat est en ce moment en train d'étudier les recours qui s'offrent à lui.

Je vous encourage à faire connaître cette situation et à participer à toute action de solidarité qui sera organisée, le cas échéant.


Puisque tout le monde s'y met... 


Allez, aidez-nous à écrouer les "dix casseurs les plus recherchés"....


24 avril 2008

La crainte est le début de la sagesse 


Comment éviter de nouveaux débordements suite à une victoire de Canadien?
Évidemment, Réjean Tremblay, avocat constitutionnaliste et éthicien, a déjà réglé la question:
Dans les faits, il faudrait une intervention beaucoup plus énergique de la police. Il n'y a rien dans la charte à Trudeau qui donne le droit aux trous de cul de commettre des crimes en écoeurant les citoyens et les policiers.
Je sais que les policiers ne savent plus comment se comporter devant l'imprévu. Les intellos les plantent tellement dès qu'il se donne un coup de matraque que les policiers ont oublié que la crainte est le début de la sagesse. Je comprends un policier d'être nerveux quand c'est lui qui se retrouve poursuivi quand il arrête une junkie qui vient de commettre une douzaine de hold-ups et qui vient de foncer sur lui avec sa voiture. Mais à un moment donné, va falloir que les policiers agissent. Ça se fait à New York, ça se fait à Chicago, ça se fait à Philadelphie. Et on n'est pas de l'extrême droite quand on dit que les citoyens ont le droit de célébrer en paix la victoire de leur équipe favorite. On est juste dans le gros bon sens.


Farpaitement! La crainte est le début de la sagesse!! Il me semble qu'on devrait en faire le slogan du SPVM(ou de l'ADQ? Moi je voterais pour ça en tout cas...), et conséquemment, changer ses tactiques. Genre qu'au lieu de faire des ti-messages de sensibilisation(c'est juste bon pour les moumounes qui jouent pas avec-pas de visières ça, la sensibilisation!), le SPVM devrait plutôt envoyer Francis Bouillon, Mike Komisarek et Georges Sainte-Pierre distribuer des corrections aux "trous de cul". Ça, ce serait de la gestion de foule...


10 avril 2008

Un nouveau gros paddé au Sportnographe 


Bon, réflexion faite, je me dis que la meilleure stratégie de relance (voir billet précédent) pour le Périscope serait peut-être de miser sur une nouveau type de média qui intègrerait sport et finance, avec un slogan genre: "La finance, un sport de combat enlevant (où ne sont blessés que ceux qui n'y jouent pas)!"
En attendant de trouver de vrais sujets sport/finance, je me contente du sport pour souligner l'arrivée d'un gros (au sens d'important) chroniqueur de concession au Sportnographe, soit l'inénarrable Jean Dion!
Pour vous donner une idée de l'importance de cette acquisition, disons que c'est un peu comme si Mario Lemieux avait effectué son premier retour au jeu en 1995, non pas avec les Penguins de Pittsburgh, mais plutôt au centre de - nul autre que - Guy Rouleau et Real Godin chez les Roadrunners de Montréal (qui auraient peut-être pu, alors, sauver le roller-hockey à Montréal et, par la même occasion, le roller-hockey tout court), ou si le Périscope arrivait à recruter Richard Martineau ou Jean Lapierre. Z'en faites pas, on travaille sur ces deux derniers cas.


9 avril 2008

(Relance) Le Périscope de la finance: la crise des "subprimes" 


Le merveilleux monde des médias™ est sans pitié. Bien qu’ayant été à l’avant-garde du journalisme alternatif depuis sa mise sur pied en 1989 (environ), le Motton noir de l’information™ (en fait, ce n’est pas exactement le slogan qu’on avait en tête au départ, mais un autre média s’était déjà approprié celui que nous visions, nous a-t-on dit bureau de brevet. Comme le formulaire était déjà complété, on a utilisé un peu de « papier liquide » - traduction officielle de l’OLF - pour modifier subtilement notre slogan vers quelque chose d’encore plus gagnant), Le Périscope, a constamment eu de la difficulté à atteindre la rentabilité. Il faut dire qu’en termes de pratique journalistique créative, la compétition a été rude : souvenez-vous la mouche dans le timbit, l’âne en rut ruinant un mariage et maintenant, TQS qui mobilise tous ces gros moyens financiers pour faire appel aux meilleurs experts de numérologie... Que pouvions-nous contre cela, je vous le demande? Sans compter l’échec de la tentative de rachat du Wall Street Journal qui nous a coûté cher en graissage de patte...
En plus, un sévère conflit de travail à l’interne – le plus long pour un blog d’actualité francophone en Amérique du Nord – a divisé salariés – moi – et patrons – Mr. Pointu et l’obscur bureau de direction. En guise de moyen de pression, j’ai tenté une carrière dans un média plutôt alternatif sous le pseudonyme de Robert, mais sans grand succès. Moi et tous les salariés – donc moi - sommes donc rentré au travail, le moral à zéro, en acceptant d’abandonner la moitié de nos bénéfices sociaux: nous avons donc dû troquer nos chaises de travail contre des caisses de bières vides.
Alors que les créanciers cognaient à nos portes, il était impératif de trouver une stratégie de relance. Quand nous avons vu le site fanatique.ca être racheté par le puissant conglomérat BRANCHEZ-VOUS! et la tentative de Microsoft de s’acheter Yahoo!, une brillante idée a germé dans nos esprits : trouver un holding prêt à nous absorber et injecter des masses de capitaux pour redémarrer Le Périscope avec plein de trucs en flash qui popent partout, pis un mini-bar dans nos bureaux ! La tâche qui s’impose à nous maintenant consiste donc à séduire un prédateur d’actifs à rabais.
Comme vous avez pu le constater dans ses derniers billets, Pointu pensait que nous devions miser sur le sport afin d’être racheter par RDS, Sportnographe ou Réjean Tremblay. De mon côté, avec la crise des « subprimes », les projets immobiliers de l’UQAM et la récession qui s’annonce, je me suis dit qu’il fallait miser sur les catastrophes économiques, en vue d’être racheté par Bloomberg TV, le Canal Argent ou Gérald Fillion, celui que Bernard Derome aime beaucoup-beaucoup.
Je vous propose donc aujourd’hui un vidéo – oui oui, c’était à cela que je voulais en venir – sur, justement, la crise des « subprimes ». Vous verrez, vous comprendrez mieux les subtilités de la « global economics » après ça: "the markets are made up of very sharp and sophisticated people".




7 avril 2008

La numérologie au service du CH 


Eh ben Gilles, ça l'air que c'est du merveilleux monde du sports que viendra la relance du Périscope.

D'après vous, est-ce que l'étudiant niaise TQS ?


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