En réponse à la mise en marché des préoccupations écologiques par les milieux branchés londoniens, Le Périscope, cherchant à repousser encore plus loin les limites de la "récupération", projette de lancer sa propre gamme de sacs réutilisables sur lesquels on pourra lire l'inscription " Am I only a lifestyle activist ?". Pas de styliste. Pas de file d'attente. Garantie.

L'étude de marché ayant été fort concluante, un premier prototype est en préparation. Nous attendons les commandes. À consommer sans modération.

Les Yes Man s'invitent dans la campagne française.



Voir aussi : "Il n'y a pas de pauvres en France" (Entrevue des Yes Man avec Patrick Balkany, maire de Levallois-Perret et député UMP des Hauts-de-Seine).

[Lu dans la chronique de Marie-Louise Arseanult, ICI]

Libellés : France, Politique

La solution NRA.

La vie n'est pas un film d'action tabarnak.




[M-à-j] Quoi penser ? Tiré de Cyberpresse.

Pensez-vous que les étudiants âgés de 21 ans et plus devraient avoir le droit de porter une arme sur les campus, moyennant l’obtention d’un permis?

Oui: 55,5 %
Non: 43.9 %
Nombre de votes : 21894

"Paul Wolfowitz, le président de la Banque mondiale, est accusé de népotisme" (Le Monde)

Quand on est habitué de faire plaisir à ses amis à coup de milliards, j'imagine qu'on ne pense pas se faire prendre avec une "pacotille" de 60 000 $ versée à sa maitresse.

Et dire que lorsqu'il fut nommé président de la Banque Mondiale, l'objectif premier de Paul Wolfowitz, était de lutter contre la corruption...

Cordonnier mal chaussé va!

Lire aussi l'article de De defensa. Et celui du Blogue social du Michel Monette.

Libellés : Banque mondiale, Politique

Comme cela le général trouve que nous sommes des hypocrites. Soit. Mais cela on le savait. Leloup (voir Mon Pays) l'a si bien exprimé cette automne.

Et sur le fond, c'est à dire la nécessité de tapocher le taliban, je veux bien être d'accord avec le général. Et c'est bien avant le 11 septembre qu'on aurait du s'y mettre.

Mais voilà, je n'arrive pas à me convaincre de suivre le militarisme gaga de notre commandant-en-chef Harper. N'est-ce pas lui qui justifiait ainsi son opposition au protocole de Kyoto: "As the effects trickle through other industries, workers and consumers everywhere in Canada will lose. THERE ARE NO CANADIAN WINNERS UNDER THE KYOTO ACCORD.

À la lueur de cette position, [et là je me répète], comment peut-on encore croire la jolie rhétorique humaniste de Harper sur la nécessité de construire des écoles pour les petites filles afghanes. Après tout, cela "siphonne aussi notre argent". Doit donc bien y avoir une autre raison pour laquelle on est encore là-bas.

Traitez moi de tous les noms, mais, dans ce contexte, j'abdique sur le cas afghan. D'autant plus que, si on se retire, les Tas-Unis ne manquent pas d'amis en devenir prêts à se faire du capital politique afin de leur venir en aide et sauver les arrières de leur "overextended army".

Cela dit, je conviens que c'est un peu triste de trier dans la misère humaine. Et je ne demande qu'à me faire convaincre que ceux qui "nous" envoie au front mettent un minimum d'efforts afin de la limiter un tant soit peu ; en s'impliquant aussi en Haïti, dans la lutte contre le Sida en Afrique, contre le quasi-esclavage pratiqué par certaines compagnies canadienne à l'étranger, etc, bref, pas comme ça.

Je serai alors, quitte à gagner un concours d'hypocrisie (car je sais très bien que c'est pas moi qui ira se battre), le premier à retourner ma veste de "pacifiste".

Désolé général. Je passe mon tour. Mais n'hésitez à me rappeler lorsqu'il s'agira d'envoyer "nos" troupes au Darfour. Je vous appuierai alors dans le grand confort de mon salon d'hypocrite.

Libellés : Afghanistan, Guerre, Politique

On vous revient plus en verve un peu plus tard cette semaine.

Libellés : Futilité

Non mais, y vas-tu finir par se fermer la gueule celui là.

Pas trop stratégique notre affaire. Alors que notre sprint électoral nous a amené de nombreux nouveaux lecteurs, voilà que nous les abandonnons une fois l'échéance arrivée. Y'a certainement une bonne dose de découragement là-dedans. Anyway, histoire de nous remettre sur les rails et de garder tant bien que mal le moral, je vous invite à signer cette pétition demandant à l’Assemblée nationale et au gouvernement du Québec d'instaurer la proportionnelle.

On se console comme un peu...

Z'êtes tannés de la politique, pouvez toujours aller vous procurer le nouveau numéro de Photo-Police (ou est-ce Allo-Police, le titre m'a échappé), nous renseignant sur le trafic d'hosties, à partir de la cathédrale de Chicoutimi et destinés à des groupes sataniques... Ah oui, y'a aussi Ben 16 qui nous informe que l'enfer existe vraiment...

Bonne semaine sainte.

Libellés : Politique, Québec